jeudi 27 novembre 2008

27/11/08

ILLUSTRATOR / les shadoks


des pensées. de l'ennui. et Merde!

jeudi 6 novembre 2008

organisation ... départ à l'heure

milieu du camp ... anarchie sur la plage


fin du camp ... bronzage parfait, teint hâlé et repas convivial ^^

02/08


c'est l'histoire intéressante du 2 août - 7h du matin - brotteaux.




c'était un bourré, il a failli me pisser dessus dans les sous sol du métro tout à l'heure...

mais il ne m'a pas touché et ouè, j'ai fait demi tour en attendant la dernière goutte^^

débarquement




s' échapper d'un endroit pour aller en cueillir un autre.



je me sens bien quand mon monde tient dans un sac de 70L

lundi 3 novembre 2008

ça fait presque 6 mois que je n'ai pas pleurer.
Tiens, la dernière fois c'est quand j'ai su que je partirais pour 2 ans à Marseille.




j'ai comme une envie de me remémorer d
es instants.
c'est certainement parce que je n'ai pas réellement été chez moi depuis juin.
ça fait 2 nuits que je dors dans mon lit, enfin, dans ma chambre, chez moi.
c'est tellement important. c'est comme retrouver ses repères.




et cet après midi c'était tout simplement le moment de me souvenir, de réfléchir.
et ces photos...

une femme qui me ressemble. qui a eu mon âge. comme une sorte de guide, et un ange à mes côtés. merci; Maman.

dimanche 19 octobre 2008


j'adore cette ambiance à la gare, cette liberté qui prend le coeur, et ces gens affairés qui marchent dans tous les sens.
une grosse grosse envie de retourner à Lyon.
J'ai le mal du pays à Marseille, tout me manque.

vendredi 22 août 2008


parpaing.


on s'en ai taper des bugs!














Plus t'en chie plus t'es content après. Putin j'ai qu'une envie c'est de refaire du vélo, t'y crois toi, à ça?

LE VELO-MARSEILLE


vous êtes vraiment trop fort. Avec vous les galère deviennent toujours des souvenirs magiques où les rires se succèdent. C'est fantasmagorique.

vendredi 1 août 2008



!
Rame, rameur, ramer,
On avance à rien dans c'canoë,
Là haut, on t'mène en bateau,
Tu pourras jamais tout quitter, t'en aller,
Tais-toi et rame...

Rame, rameur, ramer,

...

Fontenil 1999-2008
quelques changements obligent...

Souvenirs...un camp génial où les
Loux sont aussi pénibles que grandioses
Je les aime trop :)

lundi 7 juillet 2008

il y a des articles qu'il faut mieux "enregistrer en mode brouillon" et ne jamais publier...

liste non exhaustive

soupirs

Dernière visite au lycée, récupération de travaux, de toile autobiographique aussi.
Les escaliers y étaient toujours aussi pénibles et longs à monter.
Quoi qu' avec vous tout était plus facile et moins morose.
Tout change, pourquoi pas après tout mais là ça semble se dérober, se désagréger et j'aime pas ça, j'aime plus ça et en plus on le choisi pas. Et merde il est beau ce verbe, il convient parfaitement à la situation: "se désagréger".
C'est toujours le bordel dans ma tête
"à quatre, à trois, à deux, avec vous, sans vous. Seule. "
C'est bien sympa le jaune, la pétanque et la mer mais là, "ça m'donne envie d'chier putain!"

soupir, yeux qui fuient et tête lourde. De pensées, d'aurevoirs, de changements, d'années, de déceptions, de batailles, de recherches, lourde quoi.

soupir, mains qui s'tripotent et jambes croisées.

jeudi 3 juillet 2008

bien envoyé!


1 juillet à 21:33
heu... il est pas sensé tout avoir sur le site d'admission post bac (genre dans un "espace du professeur principal") où notre ami Big Brother pouvait tout voir; nos voeux, nos demandes, nos refoullages, etc...?? En plus de ça on lui avait bien filé une feuille avec l'ordre des voeux, donc je sais pas ce qu'il en a fait (peut-être un feu de joie) mais je trouve qu'il a du culot de demander à Emilie ce que lui aurait dût faire, et en passant foutre la mort à à peu près tout le monde. Sinon, pour ce qui est des "générations futures de AA" on aura qu'à les prévenir à la réunion des anciens terminales que l'expression " je suis passé voir les commissions, et ça se présente plutôt bien pour vous", c'est pas un euphèmisme mais plutôt une hyperbole.


samedi 21 juin 2008

je suis cette fille là, qui s'isole dans un coin de sa tête et dont le coeur est serré par les sentiments d'angoisse et d'abandon.


Merde.
je ne peux plus supporter ce silence, cette table où l'on devrait être à 4.
entendre le cliqueter de l'horloge pendant le repas.

Et ce refus de parler, de regarder, d'écouter, d'expliquer quoi que ce soit. Je grogne, je ne fais plus que ça. Impossible de faire des efforts, la communication s'est rompue, la distance s'installe de plus en plus comme la solitude, l'ennui et les remords.

Les idées noires restent où elles sont mais l'heure tourne, le temps passe et la bouche fermée je me laisse glisser sur le sol. C'est cette même sensation qu'il y a un an et demi qui m'envahit de nouveau: Je n'éprouve plus rien, je ne parle plus, je n'entends plus, et pendant des heures je reste comme ça, assise le regard fixe et flouté à la fois. L'esprit qui vagabonde dans un monde que lui seul peut conquérir, où lui seul peut accéder. Il en a de la chance, j'en profite. Comme un envol, un petit air doux qui ferait s'envoler mes pensées toutes liées entre elles et à mon corps par un fin fil de soie presque invisible. Sensation de liberté, de calme et sérénité. Comme un accès au paradis, comme une route où je pourrait La rejoindre. Oui c'est encore Toi qui me hante! Quand sortiras-tu de mes pensées, pour que nous ne soyons plus qu'un Tout, l'harmonie de 2 âmes, de 2 personnes différentes et semblables, de 2 personnes qui se sont haïs et aimées en même temps. Qu'en est-ce que je retrouvais ma personnalité, la vrai, celle qui me caractérise et me fais?

j'ai hate de partir, de m'éloigner. Put** mais je me coupe trop du monde, je crains de ne devenir qu'une fille solitaire qui ne s'attache à personne de peur de les perdre. 2 ans d'une vie éprouvante, mêlant vie et mort, enfer et harmonie. Je deviens cette fille parano et passive, qui regarde les choses défilées sans un mot pendu à la bouche.


Sur ces confidence, Une cigarette m'attend et me calmera avant la nuit.
En attendant demain sans grande persévérance.

mercredi 18 juin 2008

circulation sur les axes routiers


Infos traffic : circulation sur les axes routiers, en particulier sur l'axe Nord-Sud, en cette saison...bla bla bla



"à la périphérie de ta vie... j'ai peur de prendre la première sortie"


c'est toi que j'ai le plus peur de perdre, je sais toujours pas pourquoi.

"t'en deviens presque con"


Dans un mélange de Cabrel et de connerie,

"Depuis le temps que je patiente dans cette chambre noire,
j'entends qu'on s'amuse et qu'on rit au bout du couloir...."





photo par lau' : oeuf de pâques



polices et couleurs

roo c'est quand qu'on reprend les bonnes vieilles habitudes ?

> ne pas prendre soin de ses articles, beurk.


tu souviens tu?

cette "époque" où on rigolait pour rien!?
où on ne se souciait de rien

c'est pas notre relation (eh oui ;) qui a changer
c'est notre cap qui a bifurqué
ces putins d'évènement qui nous à bousculé et fais déraillé, du chemin de la joie et du sourire permanent et véritable!

innocence, cheveux longs/cheveux courts, balades, ...

y'a 2 ans!

maintenant c'est la merde. je regrette. je t'aime :)










qu'est ce qu'on a rigoler dans cette tente, au fond du jardin (8) ...!

han^^


je vais bien rire quand je relirais ce blog que j'aurais abandonné...dans un an?


"on se fend la poire"
"qu'est ce qu'on se marre"
"qu'est ce qu'on s'poil"
"Maison Du Rhône" ^o)
"LOL"
"X PTDR"
"AHhhh trop drôle !"

dimanche 15 juin 2008

à vous qui l'ont perdu aussi...

Par hasard, en cherchant l'auteur de cette citation: "les paroles s'en vont, les écrits restent.", je suis tomber sur cette chanson...en lisant les paroles... moi, ça m'a effleuré peut-être moins, mais toujours.


"Quand ce sont les mamans qui s'en vont,
Il faut apprendre à vivre entre hommes
Et à partager la maison.

Oui quand ce sont
Les mamans qui s'en vont,
La vie doit continuer sans elles
Même si sans elles,
Elle est moins belle."

michel sardou


en faire tout un plat...mais dans tous les cas, vous, ça ne vous parle pas.


vendredi 13 juin 2008

"...Sous les projecteurs..."

Bougie Woogie

Laurie Gout's







putin, ce matin quand je vous ai laisser, après que vous soyez montés dans le mini-bus de Christ'
bin tout est devenu souvenir dans ma tête, je me souvenais de ce que je voyais sur le moment, bizarre impression...


rooo j'ai tellement peur de vous quitter...

et si, et si...

et quoi alors? vous oublier? non ça, jamais!

vous êtes comme mes Papillons de Lumière... **




(photos assez éloquentes^^ .love)

mardi 10 juin 2008


"Notre gloire n'est pas de ne jamais tomber, mais de nous relever chaque fois"