mardi 4 septembre 2007

ce soir là, à neuf heures trente cinq, j'ai redouter que le téléphone sonne.

J'ai eu l'audace de croire en la vie, penser qu'il ne sonnerait pas, pas ce soir là, et pourtant, moins d'une heure après...


...nous repartions...c'était fini.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Des jours comme ça où l'on regrette d'avoir un coeur pour ressentir la douleur.