Il y a un an, deux mois après ma maman, il y a Toi qui t'es envolé. Le chéri de ma Léon, le copain de Carine, l'ami de leurs ami(e)s.
Ce lundi 4 février, dans le couloir du 3° étage, devant la salle de maths Léon se met à pleurer dans les bras de Myriam. Tu sais Léa elle est tout simplement géniale, forte, déterminée, et positive et à ce moment elle était désemparée, paniquée, sur le cul! Carine arrive perdue, nerveuse, à fleur de peau, je ne sais pas pourquoi elle est venu vers moi, je ne comprenais pas je ne cherchais pas à savoir, je savais...que c'était grave. elle m'explique (...j'ai les mots qui s'alignent dans ma tête et qui forment ces phrases horribles qui n'avaient pas de sens...). elle pleure. je lui dis juste de me tenir au courant, de rentrée chez elle, avec Léa voir tes ami(e)s, et aller te voir.
Le soir même Carine m'appelle et me donne de tes nouvelles, ton état "s'améliore", j'essaye de garder espoir mais au fond je ne crois plus en la vie, depuis déjà 2 mois. c'est le lendemain que la nouvelle tombe en cours de physique. Carine est rentrée chez elle depuis le matin, en plein cours de français elle est sortie. Léa a peur, fume, tremble, elle est en dehors du temps et du réel, on parle, les gorge sont nouées. la suite on l'a en nous, ancrée dans nos têtes...
impossible de décrire les ressentis, la douleurs des pleurs, l'intensité des actions, le déroulement de la vie...durant ces instants. c'était trop, énorme, incroyable!
Seulement depuis ces 5 et 6 février, j'ai culpabilisé de n'avoir pas cru en la vie, même pas une petite seconde, quand mon coeur s'est serré, je savais déjà la fin de l'histoire putin, je t'avais vu 3 semaines avant, pour la première fois, t'avais l'air génial et Léa semblait amoureuse...elle l'était.
la seule question qui m'obsède... est-ce ça t'aurait sauvé d'y avoir cru? :'(
Ce lundi 4 février, dans le couloir du 3° étage, devant la salle de maths Léon se met à pleurer dans les bras de Myriam. Tu sais Léa elle est tout simplement géniale, forte, déterminée, et positive et à ce moment elle était désemparée, paniquée, sur le cul! Carine arrive perdue, nerveuse, à fleur de peau, je ne sais pas pourquoi elle est venu vers moi, je ne comprenais pas je ne cherchais pas à savoir, je savais...que c'était grave. elle m'explique (...j'ai les mots qui s'alignent dans ma tête et qui forment ces phrases horribles qui n'avaient pas de sens...). elle pleure. je lui dis juste de me tenir au courant, de rentrée chez elle, avec Léa voir tes ami(e)s, et aller te voir.
Le soir même Carine m'appelle et me donne de tes nouvelles, ton état "s'améliore", j'essaye de garder espoir mais au fond je ne crois plus en la vie, depuis déjà 2 mois. c'est le lendemain que la nouvelle tombe en cours de physique. Carine est rentrée chez elle depuis le matin, en plein cours de français elle est sortie. Léa a peur, fume, tremble, elle est en dehors du temps et du réel, on parle, les gorge sont nouées. la suite on l'a en nous, ancrée dans nos têtes...
impossible de décrire les ressentis, la douleurs des pleurs, l'intensité des actions, le déroulement de la vie...durant ces instants. c'était trop, énorme, incroyable!
Seulement depuis ces 5 et 6 février, j'ai culpabilisé de n'avoir pas cru en la vie, même pas une petite seconde, quand mon coeur s'est serré, je savais déjà la fin de l'histoire putin, je t'avais vu 3 semaines avant, pour la première fois, t'avais l'air génial et Léa semblait amoureuse...elle l'était.
la seule question qui m'obsède... est-ce ça t'aurait sauvé d'y avoir cru? :'(
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